Diptyque 5.1.b : des journaux gratuits
J’ai toujours eu un tropisme particulier pour l’écrit, et cela depuis tout petit. Si tout est bon dans le cochon, toutes les occasions sont également bonnes pour lire, ainsi que tous les supports. Bande-dessinées, romans, journaux. J’ai pris l’habitude de lire le journal quotidiennement bien avant mes dix-huit ans. Étudiant à la faculté, Je bénéficiait des distributions gratuites du figaro tous les matin avant de me rendre en cours. J’avais déjà acheté Libération en sortant de chez moi et rachetait le Monde en quittant l’université. On appelle cela une addiction à l’information. Le soir, après avoir passé des heures à lire mes bouquins de cours, je me replongeais dans des textes bien plus distrayants avant de m’endormir, le nez entre deux pages.
Chondre
Lorsque la solidarité corporatiste est mise à mal par les griffes du capitalisme, les journaux peu à peu plongent dans les caniveaux.
(cette photo a été prise à la station Pigalle, mais je n'en tirerai aucune conclusion)
Ceci est ma participation à la session 5.1 du diptyque d'Akynou.
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