Mantovani, Eötvös, Boulez (Cité de la Musique - 25 Avril 2018)
Bruno Mantovani - Cadenza n°1
Pour percussion en ensemble. Les percussions sont répartis en trois groupe devant la scène, que Gilles Durot visite tour à tour, avec deux groupes instrumentaux qui prolongent les sonorités. Ce n'est pas désagréable, mais ça m'a semblé un peu artificiel, sans que je ressente une quelconque nécessité à l'exercice. Pas désagréable, donc, mais pas marquant non plus.Péter Eötvös - Steine
Là, on est explicitement dans le domaine de l'exercice. Deux pierres (une pour Péter - Eötvös, une pour Pierre - Boulez) par musiciens, qui doivent obéir au chef mais aussi s'écouter, et réagir dans une part d'improvisations. Je n'ai trouvé aucun intérêt à tout ce truc.Pierre Boulez - Dérives 2
J'ai l'impression de découvrir plein d'aspects nouveaux dans cette pièce pourtant maintes fois entendue - bravo à l'EIC et au chef Eötvös ! Couleurs, rythmes, tant de détails affinés, avivés ! Et même la structure devient plus claire, avec une première partie très carrée, rapide, serrée, et une deuxième plus apaisée, libérée, avec même trois solos successifs qui m'avaient jusqu'ici totalement échappé ! Splendide.Ailleurs : Michèle Tosi
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